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Quelques semaines, tout au plus

1931. Dans un orphelinat français, Lucien, garçonnet de sept ans, découvre un milieu rude et intransigeant. Tant bien que mal il s’adapte aux règles strictes, aux punitions et aux repas de basse qualité. Tout un monde bien différent de ce qu’il a connu auparavant…

Pourquoi est-il ici ? Et pour combien de temps ? Sa mère viendra-t-elle le chercher rapidement, comme elle lui a laissé entendre dans le bureau de la responsable ?

La cohabitation de deux-cent-cinquante garçons ne s’établit pas sans mal, et il en fait les frais. C’est avec de nombreux heurts qu’il parvient à prendre une place, discrète, et à quitter son air malingre qui lui collait à la peau. Une bonne sœur généreuse le prend sous son aile, tandis que d’autres adultes lui mènent la vie dure. Quand enfin il pense pouvoir décider lui-même de sa vie future, la Seconde Guerre mondiale éclate.

Ces rencontres lui permettront-elles de traverser une jeunesse faite de désillusions ? Son cœur d’adolescent se laissera-t-il combler, malgré la guerre ? 

Laissez-vous entraîner dans le quotidien et l’aventure d’une vie mouvementée où l’Histoire s’en mêle. Lucien ne vous laissera pas indifférent, ses camarades non plus. 

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2 commentaires sur “Quelques semaines, tout au plus”

  1. Je remercie Solène pour l’envoi de son roman 😊
    Cette histoire nous plonge pendant l’entre-deux-guerres, dans le quotidien de Lucien et de l’orphelinat où sa mère vient de le déposer.
    C’est un roman historique, où nous découvrons la vie dans un établissement comme celui-ci. J’ai aimé apprendre comment se déroulaient les journées des pensionnaires auprès des bonnes sœurs (pas toujours très amicales…), ainsi que les règles établies en son enceinte.
    On se rend compte que l’existence à cette époque était bien différente de la nôtre, plus difficile, et j’ai apprécié être confrontée à cette réalité.
    Le roman tourne autour de la vie de Lucien, de ses sept ans à son âge adulte, on suit donc ses joies, ses difficultés, ses désillusions, ses accomplissements, ses amours, ses ennemis, mais aussi et surtout ses AMITIÉS. Si je devais donner un seul mot pour résumer ce livre, ce serait celui-là.
    C’était une jolie histoire, un agréable moment de lecture et j’ai d’autant plus apprécié que celle-ci est basée sur des faits réels, racontés par le grand-père de l’autrice.

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